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URGENCE ALIMENTAIRE : 50 Artistes De La Sc​è​ne Electro Alternative Contre La Pr​é​carité Étudiante

by 6click Music

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THE OTHER SIDE Last night you whispered some words to me All I wanted to hear I've heard With bated breath I could easily give in I knew I had all of your time I knew it won't always be there I better get you out of my mind Or I could easily fall into your arms to the other side To what I was dreaming of so bad I know the birds come to your house what if I land, will you give me more time? But now, I cannot make a move I'm scared of illusions on my thoughts You were right It doesn't matter who we are It won't change anything It won't change your sweet eyes I still miss you, I'm paralysed Next Time, it won't happen like that I'll fly over time and I will give you The things you had in mind I'll get you at another round How could you give up on me? And how do you know if our thing was real if you don't give it a try? You better change your mind But now, you whisper some words to me Words I don't want to hear I've heard You can't give me more time but here we are For a little while Struggle no more and show me your power No one gives us anytime anymore Snuggle some more and take me for hours It's our last dance tonight before I go Now, I cannot make a move I'm scared of illusions on my thoughts You were right It doesn't matter who we are It won't change anything It won't change your sweet eyes I still miss you, I'm paralysed
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TARANTA SONNÀ Ven'addu me e cuntentame stu core che a tant' tiemp' penza e aspetta, penza e spera Levam' a piett', core, sta fattura nera mi prepar a darte mille vase, vase a mille Ven'addu me e cuntentame stu core che a tant' tiemp' penza e aspetta, penza e spera Levam' a piett', core, sta fattura nera mi prepar a darte mille vase, vase a mille Ven'addu me e cuntentame stu core che a tant' tiemp' penza e aspetta, penza e spera Levam' a piett', core, sta fattura nera m'guarda dint all'uocchie, dint all'uocchie e po' me dice Tara sonnà Tara sonnà Tara sonnà Tara sonnà Tara Rondine ca vola che vola n'coppo mare vien'ca t'dico doje parole T'aggia pija na pinna àll'ale na lettera faccio a o core mio, abbi core Miettel sotto a scell, ampress, miettel sott all'ale prima ca fun essti parole Vedi quando rivi nuni la dare si no noun t dona o ver ammore Miettel sotto a scell, ampress, miettel sott all'ale prima ca fun essti parole Vedi quando rivi nuni la dare si no noun t dona o ver ammore Tara sonnà Tara sonnà Tara sonnà Tara sonnà Tara sonnà Sonnà Tara sonnà Sonnà Tara sonnà Sonnà Tara sonnà Sonnà
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ISOTHERME J’arrive et je compte rester J’viens de la terre ferme Tu peux t’désister Chez nous pas d’raz-de-marée Tout est isotherme J’évite les excès Ils me feront pas douter de toi Ni même me laisseront douter de moi T’es mon binôme Mon meilleur combat Le seul que j’nomme Le seul que je vois Faut qu'on gère nos affaires S’éloigner de l’enfer Ils seront tous damnés Y'a plus d’dames sur le damier Ils combattent feu par le feu Nous on reste isotherme Dans ta main mes cheveux Tout est mieux lorsque j’t’aime Échec et mat Ils réessaient d’nous séparer Échec et mat Leur chèque en bois et leurs billets Touche pas Touche avec les yeux Ranime la flamme qui s’trouve dans le feu Touche pas Bouche à bouche c’est mieux Pour que mon souffle revienne un peu Je revis, deuxième souffle Comme Lino Ventura J’prends des risques de ouf Pars à l’aventure à À 2, c’est mieux Mieux d’être heureux Heureuse comme si comme si j’le veux À 2, c’est mieux Mieux d’être heureux Heureuse comme si comme si j’le veux À 2, c’est mieux Mieux d’être heureux Heureuse comme si comme si j’le veux À 2, c’est mieux Mieux d’être heureux Heureuse comme si comme si j’le veux Échec et mat Ils réessaient d’nous séparer Échec et mat Ils réessaient d’nous séparer Échec et mat Leur chèque en bois et leurs billets Échec et mat J'suis pas un pion Je tiens les rênes Touche pas Touche avec les yeux Ranime la flamme qui s’trouve dans le feu Touche pas Bouche à bouche c’est mieux Pour que mon souffle revienne un peu Je revis, deuxième souffle Comme Lino Ventura J’prends des risques de ouf Pars à l’aventure à À 2, c’est mieux Mieux d’être heureux Heureuse comme si comme si j’le veux À 2, c’est mieux Mieux d’être heureux Heureuse comme si comme si j’le veux À 2, c’est mieux Mieux d’être heureux Heureuse comme si comme si j’le veux À 2, c’est mieux Mieux d’être heureux Heureuse comme si comme si j’le veux
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MÉBAËL Je voudrais figer tous tes gestes Quand tu me testes Quand tu m'effleures Est-ce le destin ? Après le reste je pourrai bien faire ce que je veux de mes fleurs, et là je pleure Je voudrais figer tous tes gestes Quand tu me testes Quand tu m'effleures Est-ce le destin ? Après le reste je pourrai bien faire ce que je veux de mes fleurs, et là je pleure Je veux pas la toucher comme les autres Faut que je dise d'autres mots Faut que je le fasse lentement Même si ça fait de la peine Faut que je me rappelle Ce que ça fait quand je monte Elle le sait quand je mens Changement Au téléphone je l'entends quand elle me sourit Attentif au moindre soupir Si ça va trop vite je tire à fond le câble Tempête avant le calme Je voudrais figer tous tes gestes Quand tu me testes Quand tu m'effleures Est-ce le destin ? Après le reste je pourrai bien faire ce que je veux de mes fleurs, et là je pleure Je voudrais figer tous tes gestes Quand tu me testes Quand tu m'effleures Est-ce le destin ? Après le reste je pourrai bien faire ce que je veux de mes fleurs, et là je pleure Elle parle aux oiseaux dans son sommeil Posé sur sa lèvre, grain de beauté Les vagues sur sa peau face au soleil Nettoient tous mes bleus jusqu'au sommet Le silence est colorie goyave La pluie tombe sur moi en premier lieu Déploie tes angles pour que j'y vois mieux Dévoile tes plis joli magnolia Au téléphone je l'entends quand elle me sourit Attentif au moindre soupir Si ça va trop vite je tire à fond le câble La tempête avant le calme Au téléphone je l'entends quand elle me sourit Attentif au moindre soupir Si ça va trop vite je tire à fond le câble La tempête avant le calme
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KA SHIMIR Partie divine en toi Tu es nature et pure joie Brise en fumée les nuages éphémères Sous-tends les nuées et les textures arbitraires Sens-tu l’odeur du bois qui craque ? Et s’évapore...?
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L'AIR DU TEMPS C'est l'air du temps Qui n'a plus le temps L'air d'un monde Qui se dévore lui-même L'air des océans de plastique Qui font flotter les baleines C'est l'air du temps Qui ne sait plus L'air des vérités noyées dans le bitume Alors qu'il n'y a déjà plus de plumes L'air où le plus important S'est perdu dans les calculs C’est l’air du temps qui s’est perdu C’est l’air du temps qui ne sait plus comment vivre Tout simplement Ieri ho visto il tempo Oggi ho parlato con il vento Mi hanno detto Che domani ci incontriamo Intorno al sole C'est l'air du temps Qui s'est oublié Un air absurde qui a perdu la tête Tandis que la raison cherche l'horizon Un air qui ne se souvient plus de ses propres notes Ieri ho visto il tempo Oggi ho parlato con il vento Mi hanno detto Che domani ci incontriamo Intorno al sole Au point de ne plus pouvoir s'aimer Au point de ne plus pouvoir chanter C’est l’air du temps qui s’est perdu C’est l’air du temps qui ne vit plus Tout simplement Mastered by H2O Twitter: @h222zoo Facebook: @h2ounderthesea
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THE AWAKENING Did you see that ? Bright lights which burn your eyes Did you feel that ? Your awakening is rough As long as we ate sparkles As long as they fed us well As long as we were asleep As long as they kept us quiet They wanna put us down and run everything They wanna burn the place right before leaving Thin thin lies, no one should believe Addicted to fake, they emptied our minds Did you smell that ? When you've become short on breath Did you taste that ? Bloody tears and bitter fall As long as we ate sparkles As long as they fed us well As long as we were asleep As long as they kept us quiet As long as they fed us well As long as we were asleep Bloody tears and bitter fall Bloody tears and bitter fall They wanna put us down and run everything They wanna burn the place right before leaving Thin thin lies, no one should believe Addicted to fake, they emptied our minds
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SOMEONE I am Living Here (And) I am Someone
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NOVEMBRE Quand la fête est finie Quand la musique ne nous fait plus danser danser Quand le manège est fermé Il ne tourne plus ne tourne plus jamais Quand le jouet est cassé Quand mes blagues ne te font plus marrer marrer Quand l'ivresse disparaît Quand l'enfance ne nous concerne plus jamais Quand tes fleurs ont fané Quand notre fin nous fait même pas pleurer pleurer Quand tu ne rentres pas Quand tu ne rentres plus jamais Quand tu ne rentres pas Quand tu ne rentres plus jamais Quand le gâteau est apporté Qu'ils se mettent tous à chanter chanter Quand la table est dressée Et qu'elle n'arrive pas, qu'elle ne viendra jamais Quand la fête est finie Quand la musique ne nous fait plus danser danser Le manège est fermé Il ne tourne plus ne tourne plus jamais Quand la fête est finie Quand la musique ne nous fait plus danser danser Quand le manège est fermé Il ne tourne plus ne tourne plus jamais
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GIVE UP ON YOUR DREAMS! Give up on your dreams while you’re still young! Oh it’s been quite a ride and it’s been fun But now the party is over and by the morning i’ll be gone We’ve been dancing by the ocean walking outside the museums You found your way by the moonlight when the city was so silent Give up on your dreams while you’re still young! Give up on all your dreams while you’re still young! Oh it’s been quite a thrill but now the thrill is all gone There’s too much rules and it’s boring I’m needed home I didn’t think you would show up you’ve been a great entertainment But now the party is over good things always come to an end Oh it’s been quite a ride and it’s been fun But now the party is over by the morning i’ll be gone Give up on your dreams while you’re still young! Give up on all of your dreams while you’re still young!
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TU N'ARRÊTES PAS Tu n'arrêtes pas de te cogner la tête Quand bien même je vois que tout est à la fête Tu ne dors plus les nuits de pleine lune Quand traverseras-tu ces longues nappes de brume ? Autour des pavillons, tu trouves le temps long T'éloignant sur le pont, tu jalouses pourtant les passions Rêvant d'une révolte aussi futile qu'illusion Cherchant pourtant tes mots pour figer ton aplomb Toi, tu as toujours froid quand les rosiers s'épanouissent Car il n'y a en toi de chaleur qui s'invite À l'encre de tes yeux voulant seulement fuir, ta solitude trahira pourtant tes désirs Sous l'arche des enfants, tu te souviens à peine Du temps qu'il t'a fallu pour ne plus être le même Dis-moi, pour toujours, que tu oublieras ces scènes Tes sourires reviendront, tu oublieras tes chaines
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26 Aujourd'hui assise, alanguie à attendre amis, amour, art, astéroïde. Barricade brutale, bitume banni. Baisers biaisés, bière bonzaï, bombance bromurée. Bientôt-bienoutard : baignade-boom, bar-becue, baise-baobab. Chers copains, cette carte confinale comme compensation : - culinaire : chocolat, café, chèvre coulant. - calinaire : chaque cou comptera cent cinquante-cinq câlins. Copinou confinou, câline ce confinement. Drôle de dystopie dominicale. Disparition du dehors, distanciation draconienne. Donc, décision de droits donnés : - dedans : divagations diverses (dune, dromadaires, diving, danse des dix doigts) - demain, debout : dire des drôleries, distribuer des douceurs. Dixit Damasio : "Dégonde !" Espèce en équilibre éphémère et en enfermement eschatologique. Écouter, exprimer, écrire, échafauder, enivrer, exulter. Épilogue : éjaculer en été Flics fascisants fracassent femmes féministes. Feu-follet fure fallacieusement fée fébrile fatiguée. Fait fascinant, Fantomette, féministe furieuse, fulmine, frappe feu filou : figure fissurée, flancs fracturés. Fille forte, femme futée, fonce, fais florès ! Fuck "f"allocratie! Farandole, fantaisie, féminitude Général GAFAM gagne guerre : googlelisation généralisée, Gates galvanisé, génial-phone glorifié. Grande gigue galactique. Girafe, guenon, gypaète grimacent. Grippe géante grappille gens. Général gouvernement glorifie guerre grippale. Gouvernement gargarisant grottifie gens. Gardons gourmandise gastronomique et génitale. Houle humide, herbe huileuse, humus hoquetant, humain héminégligeant. Heure historique, horde humaine hyperactive, hyperthermique, hiberne. Hérisson hume, hulotte hulule, huitre humorise. Hypothèse ; hostilité habituelle, hunting, horreur hiroshimesque, homophobie. Hyper-thèse : haro habitudes haineuses. Honnêteté, humour..hermaphrodisme. Infection inattendue, immobilisation internationale. Instants incarcérés, individu isolé. Icare inconfortable, idéalise intensément. Inspirer, inventer..., inspirer, immunité.., inspirer, intraveineuse. Imaginer : immersion intégrale, immensité infinie, invasion iti ! Imaginer. Imaginer..Imaginer... Jeu jubilatoire. Jules et Jim jeannifient. Jolie Jean, joyeux Jean-paul jouent. Joker justicie. Jodorovsky jardine jasmin joufflu. Kaléidoscope kafkaïen : Kangourous kamikazes kayakent Kyoto! KGB kendoïse krill, kobold, kodama !! Kouign-amann killer, kidnappe Kandinsky, Kundera, Kawabata. Les loups libéraux louvoyants, lacèrent les lois, libèrent les larmes. Langage laudatif, libertés limitées, labeur lunaire. Loisirs loufoques. Légèreté laryngée, lectures limitrophes, Landes lascives, LSD labyrinthique. Liberté, légèreté, love. Maison monacale, muselée. Messages médicaux martelés. Ministres menteurs, manipulateurs. Municipales maintenues, masques manquants...Macron, murène mielleuse. Madeleines mnésiques : mer, mouettes, moules marinières, mojitosss ! Mantras musicaux : musique minimale, mélodies maximales, mouvements mi majeur. Mantras magiques : Myosotis, myrtilles, mousse, mimosa, Mononoké mind. Naïs Nin, nymphe nubienne, nage naturiste. Nietzsche, novice nudiste nyctalope, nettoie négligemment noisettes, nouille noueuse. Nin, Nietzsche nocent nuitamment. Oh occultiste, ostracise opportunistes obscurantistes, oligarques opprimants. Ouste orties, ogres ordinaires! On oublie. Ondée ouatée. Orangeraie odorante, oasis oranaise. Ortolan onirique, osmose océanique. Ondulations organiques, orchestre orgasmique. Ouverture ophtalmique, oxygénation olfactive, optimisation ontologique. Politiques profondément pervertis. Père, pureté, péchés, pénitences.. pff. Prurit patriarcal, peste (le)peniène. Pandémie planétaire. Patatra. Pussy Power ! Proudhon Power ! Pangolin Power! Poncifs pathétiques ? Peut-être. Pourtant, penser positif, peaufiner priorités pertinentes. Pacifisme, philosophie, plénitude, plaisirs primesautiers. Pique-nique-plage, pintes-party, partages passionnés. Quarantaine. Quelques querelleurs quémandent quidam quitter quadrille. Quidam (à) quai. Quotidien queue-leuleu. Quel quota ? Quinze, quarante-cinq? Quatre-cent-cinquante-et-un ? Que Qualor ! Quérir : quesadillas ; QiGong, Quidditch ; quête quintessence quantique. Rien. Société sans souffle, soignants sans soutien. Soupir sanitaire, sérologie suicidaire. Sourdine sociale, self-survie. Soldats sécurisent, surveillance se systématise, soumission structurée. Scenarios science-fiction surgissent sinueusement. Survivalisme syncrétique, syllogisme satanique. Sinon, sens salutaires : Souffler-se souvenir-sauter sur son sinusoïdal-sentir Souffler-se souvenir-souplesse stylistique, sculpture symphoniqe-sentir Souffler-se souvenir-savourer spasme sensuel superelectrique-sentir Souffler-se souvenir-sea salante, soleil soufflant, sable souriant-sentir Thanatologie terrestre. Tempête technocratique, tumulte technologique. Télévision, téléphone, télétravail, télémédecine, téléenseignement. Télérelations, télédéshumanisation. Téléportation! tourner, tourner ; tentations titubantes, transes tonitruantes, tourner, tourner. Temporiser. Tremblements transparents, toucher tacitement. Tracer tranquillement, tenir tout-à-coté. Tendresse tactile. Tête-à-tête, talon-à-talon, téton-à-téton. Ulysse ulcéra un uni-œil. Usines ubuesques urbaniseront Uranus. Univers ultra-libéral usé, ubérisé, urticant. Usagers unanimes : upgrade urgent! Utopie underground : universalité, ubiquité, ukulélé. Visages vestejaunes visés volontairement. Vide-œil. Vertes vallées vandalisées, vestales violentées vomissent. Volonté vivre-avec Vivant. Vœux : vaccin virus, Vassal vaincue. Vide-ordures. Vautours voraces, vermines vénales, verrouillés. Violet volubilis, violoncelle vibratoire, vagues vaporeuses. Voguer, vocaliser, voltiger. (In) vino veritas : vulve, verge, volupté. Wuhan.. Warning, witches! Walkman, WootRadio.Watoo, Watoo. X-men, X-women. X-love., X-Temps. Yoga, Yin Yang ------- Yoda, Yokai ----- Yuzu, Yggdrasil --- Zapping zoophonétique. Zouzou Zovid-19 zizanise. Zanzibar, zèbres zigzaguent. Zinbabwe, zombies zigouillent. Zarathoustra zozote. Zut ! Zamis zadistes, zamis zazous, zoukons, zygomatons, zaimons. Zéro.
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Kotz - T4 03:14
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THIS ROOM I walk into this room Empty space Just you Electric feeling Mystery Let us move let us groove I just want to lose control Let us smoke let us joke I just want to lose control But I cannot move I am shaking From the first time I saw your eyes You've got something to me Mystery Let us move let us groove I just want to lose control Let us sink let us drink I just want to lose control Lost in that gripping eye I am falling From the first time I saw your eyes You've got something to me Mystery Underwater love Underwater love I'm swimming in desire Underwater love Underwater love I'm swimming in desire Let us move let us groove I just want to lose control Let us sink let us drink I just want to lose control Let us smoke let us joke I just want to lose control Let us sink let us drink I just want to lose control
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IN​-​EO I think my heart is beating And you don’t recognize me Don’t do this Don't do this I think my heart is beating And you don’t recognize me Don’t do this Don't do this I do it when I wanna When I’m a lover swagga And I don’t play oh When you want babe no I do it when I wanna When I’m a lover swagga And I don’t play oh When you want babe no I watch you, wanna hear ohohohohoh want it Enjoy I watch you, wanna hear ohohohoohoh Enjoy Wanna
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ONLOVE (TAKE THE POWER BACK) Fill up Fill up Fill up Mmmm mmmm mmmm Fill up the well from the inside There is no way out, only in It is not out there It is here It is not out there It is here We are being tricked. Seduced and fooled to believe that we need to change, improve and consume in order to be worthy of receiving. Love. These are all lies. Sold to keep us bound and trapped in the constant search for it (LOVE) somewhere else. Stripping us of our true powers and innate FREEDOM. LOVE is here. It is in you. It is YOU. Take the power back! Take the power back! Take the power back!
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VSSP - Rise 05:21
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GLASS + SSALG A few years into my life And the memories Landscape is moving fast And there go the wheels Then i know This music will be the last Our last song yesterday Had the sound of broken glass I remember that you said With a smile Everything will pass I'm afraid This music will be the last The ground soon will touch my flesh A burning last caress I never meant to leave this way But I'll never confess Will you know Will you see my name on the stone Will you know Will you see my name on the stone

about

CONFITURE DE COMELADE

Des signes de pistes du siècle dernier, reste l'image de l'immense British into the groove, Nick Kent himself, happé déhanché au Palace. Les chroniques dance-floor de Didier Lestrade dans «Libé», et Daft Punk en frontlive conquérant, à Talence.
Laurent Garnier avec violoniste, batteur... à contre-emploi à mes yeux, au Chat Bleu sur les quais bordelais... avant de pulvériser les œillères dans son «Electrochoc».
Mirwais par le juste fait et un peu d'Air... ou Reboot(ini) qui invite mistress Mona Soyoc sur un titre.
Et pour ne revenir ni au novö diskö ni à l'autobahn, à Suicide ou à l'axe Can/Swans mettons, Pierre Henry et que sais-je de l'électronique des instruments, ce mot de DDarc :
«-L'electro ?... je ne connais pas assez pour en dire du mal».

Quand depuis le début de l'année, des étudiants se suicident sur le campus talençais... votre explorateur se voit mandaté à la découverte d'un Act Up de l'electro d'aujourd'hui... et pour la cause Solidarité Continuité Alimentaire.
Alors immersion SVP.

… «Confiture de Comelade» !? Ha-ha. Cette compil' monstre aurait pu s'échanger ainsi, sous le manteau. Un titre parfaitement évocateur, en guise d'intention instrumentale.
Mais ce serait oublier l'electropop à boîtes sèches/la female voice qui s'élève/les nappes enveloppantes/déflagrations, kicks & shalala-lalas.
Et puis ça recogne, vrille avec pêches de synthés qui boostent, plus la voix domina.

Il y a des clappings ambivalents et finauds, ambiance décontract' à accents oniriques. Où la voix narre, narre, et finit toujours par trouver the corner. Y aura-t-il assez d'une pluie de beats pour décrasser cette foutue ville !?
De loin, une vague connaissance chuchote, au milieu d'un tableau d'abstraction qui s'attache aux choses organiques. Et finit en points de suspension.

Un Sudiste, africaniste peut-être façon sanza, ramène des percus chaleureuses à vocalises hypnotiques, avant de se laisser infester industriellement. Ou comment s'éloigner du tribal, du tradi, pour rendre l'étouffement...
Le Brésil aussi s'impose à sa façon, entraînante, avec percussions attractives, couinements et mosaïque de notes.
A quand la réouverture du bar El Chuchumbe !?

Du lot, le plus méchant autoproclamé joue le romantique mélodique, en mal de magnolias. L'index suivant taquine le lyrisme kashmir. Arrive une ballade, au questionnement parlé en français/italien, et cet haïku qui résume notre moment, comme «un air qui ne se souvient plus de ses propres notes».
UN AIR (DU TEMPS) QUI NE SE SOUVIENT PLUS DE SES PROPRES NOTES.
Rideau.

Mais non, rafraîchissante réunion. Qui bien sûr, breakbeat-bip-beep et sature, avec assauts sonik et apnées de boîtes/synthés, progressions/montées, giclées/redescentes... relativisés à karma presque régulier, par une voix. Belles les belles.
Un rugueux bourdonne sur les fréquences, palpite en direct, et fait place aux murmures des sirènes, oscillations du son en quête... d'âme-son.
D'autres subissent moult tracas, fracas, tracasseries de nuit... croisent E.T., jouent au flip'. Avec motifs auriculaires obsédants, et narrations-contagion parfois très 80's. Quand ce ne sont pas les languissements isolées de Madame...
Les attendus bidouillages, virgules sonores et bruitages d'engins soulignent le morcellement contemporain. Et là, on attend qui voudra bien nous ramener le flipper... ou les images de «L'Oeil du Cyclone».

L'instigateur de ce raout se montre ludique et gai : bribes sautillantes d'enfance, fine pluie de sève, trésor pirate.
Tandis que dans le défilement d'index, ça s'en va et ça retient. Avec une chanson ou presque, qui arrive, sur une ou deux notes étayées de percus. Si «c'était pour revenir en enfance... c'est trop tard». Boum-boum baby, OK.
Sauf que s'en suit une popsong introspectée avec refrain, quasi. Une évocation des «Nuits de pleine lune»... évidence, évidance.
Et que pointe même une guitare, avant saturation de mots-machettes/manchettes de presse/flashes neuronaux... marabout de ficelle pour tranche existentielle, en 9 minutes 007 d'alphabet fuckin' life.

L'electro 2021 !?... cherche une présence, un écho vibrant, une compagnie. Tout en distillant de simples bouts d'atmosphères, ses moods du possible.
Des shoots de tek aussi, inévitables coups de boutoir, culbuto.
Entre la bande-son d'un court-métrage intime, et le «Waterworld» soumis aux clapotis et aux gémissements, filent encore soubresauts tendancieux, tendances déviantes, défloraisons déraisonnables, et autres trips au pays des ch'tites étincelles.
Se trouvent parmi cette procession, même un boxeur à l'entraînement et un «-Mayday ! Mayday !» en direct des Bermudes. On croirait entendre «… téléportation Scotty», tant ça sample, violoncellise, couine et pulse dangereusement, pour au finish se rasséréner.

Au final ?, mais nan... résonne un joli piano et un beat incompris, en quête de quelque bar de nuit ou d'un chef d'orchestre ? Dans un Las Vegas imaginaire, un drone filme jeux de cordes & accords de synthés, ping-pong & Pac-Man, train fantôme aux suspensions mécaniques, pendues.
Incrustations d'effets, fissures surgissantes et rechutes, où s'immisce une sourde noise, sournoise, minuscule, jusqu'au fond du wagon.

Et ça s'achève en processions entêtantes, génériques plus ou moins filtrés, étendues distendues, crispations d'oreilles saignées. Les outils en action, les puls(at)ions en chantier, toute cette confiture de Comelade... qui a la force du collectif.
Titre pour le coup s-p-i-r-i-t-e : on l'ouvre et on n'avale pas.

Patrick Scarzello

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- Pour faire directement un don à l'ASCAB (Association Solidarité Continuité Alimentaire Bordeaux) : www.papayoux-solidarite.com/fr/collecte/aide-alimentaire

- Artwork - pyr0nie : www.instagram.com/pyr0nie/

- Mille mercis à tous les artistes (design, composition, mastering) qui ont accepté de participer à cette action solidaire !

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released April 28, 2021

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